Konrad Haraldson, le félin viking.

Pour tout vous dire, Konrad ressemble à un ours mal léché qui n'a pas assez dormi durant les mois d'hivers. Froid, distant, il ne faut pas le titiller au risque de se faire rabrouer ( dans le meilleur des cas ). Konrad va toujours chercher la solitude, même si c'est quelque chose de négatif pour sa part changeling. Cependant, il peut se montrer d'humeur à échanger quand des novices viennent lui demander des conseils. Enfin, pendant cinq minutes.

Loyal et fidèle à sa chef, il fera tout pour la meute même si cela ne se voit pas, étant donné qu'il rabroue toutes les personnes en faisant partie. Consciencieux, il est même du genre à faire des heures supplémentaires sans rechigner. Franc, il n'hésitera pas à dire ce qu'il pense, sans se soucier de les blesser.

Solitaire et renfermé, il ne dit jamais rien sur ces propres sentiments et frappe automatiquement, verbalement ou physiquement, ceux qui osent lui demander comment il se sent.

La seule chose qui le fait ressortir de cet état de défiance total reste sa passion pour la mécanique et les voitures. Quand il en parle ou quand il se trouve dans son garage, il serait presque.... "humain".

Animal + Cougar
Clan d'appartenance + Blackfalls
Position au sein du clan + Sentinelle

prénom(s) et/ou pseudo Me :D âge 25 fréquence de connexion 3 fois par semaine où as tu découvert le forum? Sur facebook ton opinion sur le forum, design, codage Super cool     inventé ou scénario? inventé   autre choses? ici

Bottin des avatars

Code:

<pris>Travis Fimmel</pris>+ Konrad Haraldon

Bottin des espèces

Code:

<f>Konrad Haraldon</f> +  Changeling

Organisations

Code:

Blackfalls + <f> Sentinelle</f> + Konrad Haraldon

Pour vous faire mieux connaitre d’où vient l’erreur de ceux qui blâment la volupté, et qui louent en quelque sorte la douleur, je vais entrer dans une explication plus étendue, et vous faire voir tout ce qui a été dit là-dessus par l’inventeur de la vérité, et, pour ainsi dire, par l’architecte de la vie heureuse. Personne ne craint ni ne fuit la volupté en tant que volupté, mais en tant qu’elle attire de grandes douleurs à ceux qui ne savent pas en faire un usage modéré et raisonnable ; et personne n’aime ni ne recherche la douleur comme douleur, mais parce qu’il arrive quelquefois que, par le travail et par la peine, on parvienne à jouir d’une grande volupté. En effet, pour descendre jusqu’aux petites choses, qui de vous ne fait point quelque exercice pénible pour en retirer quelque sorte d’utilité ? Et qui pourrait justement blâmer, ou celui qui rechercherait une volupté qui ne pourrait être suivie de rien de fâcheux, ou celui qui éviterait une douleur dont il ne pourrait espérer aucun plaisir. Au contraire, nous blâmons avec raison et nous croyons dignes de mépris et de haine ceux qui, se laissant corrompre par les attraits d’une volupté présente, ne prévoient pas à combien de maux et de chagrins une passion aveugle les peut exposer. J’en dis autant de ceux qui, par mollesse d’esprit, c’est-à-dire par la crainte de la peine et de la douleur, manquent aux devoirs de la vie. Et il est très facile de rendre raison de ce que j’avance. Car, lorsque nous sommes tout à fait libres, et que rien ne nous empêche de faire ce qui peut nous donner le plus de plaisir, nous pouvons nous livrer entièrement à la volupté et chasser toute sorte de douleur ; mais, dans les temps destinés aux devoirs de la société ou à la nécessité des affaires, souvent il faut faire divorce avec la volupté, et ne se point refuser à la peine. La règle que suit en cela un homme sage, c’est de renoncer à de légères voluptés pour en avoir de plus grandes, et de savoir supporter des douleurs légères pour en éviter de plus fâcheuses.