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 Fawn + I like the way the sun feels

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Invité
June Fawn Wilkins
« I really thought you were on my side »

nom + Wilkins
prénom + June Fawn
âge + 25 ans
date de naissance + 4 mars 2055
nationalité/origine + américaine
statut civil + célibataire
orientation sexuelle + hétérosexuelle
métier/études + étude en médecine
situation financière + modéré
avatar + Behati Prinsloo
race + Changeling
organisation +   WhiteSun

Un sourire sur les lèvres permanent, alors qu’une douceur sans nom l’envahit, la comble. Elle n’est que douceur, éternelle douceur, du moins à première vue. Et celui qui ne la connaîtrait pas, j’imaginerais qu’elle n’as rien vécu, qu’elle croit encore à l’innocence du monde, qu’elle croit encore que la vie n’est que soleil et bonheur, mais ce n’est qu’un leurre, elle as vécu, elle as souffert. Elle connaît ce côté mauvais, bien mieux que quiconque. Et si elle est assez facile d’approche, elle n’accorde sa confiance à personne, ou du moins, qu’à un certains nombre limité de personne en dehors de la meute. Mais elle partagera son rire avec vous, celui-ci éclatera, aussi clair que du cristal, elle iras aussi probablement mettre son nez dans vos affaires, incapable de satisfaire cette curiosité sans borne qui l'ampli, ce qui as souvent tendance à la mettre dans le pétrin. Elle est bien capable de se faire entendre, d’avoir du caractère, après tout, elle as vécu dans une meute de loups qui prenait bien plaisir à la voir se fâcher. Elle as développé un excellent sens de l’observation, capable de détecter les mouvements caché, les sentiments non-dit, c’est ça manière à elle de se protéger, mais aussi sa manière de gérer  les changelings loups un peu trop fier qui ne veulent pas admettre leurs douleurs, m’enfin, tant que ça ne l’as concerne pas directement, elle est un peu naïve après tout. Et malgré sa petite taille, malgré le fait qu’elle semble bien frêle comparé à ses confrères loups, ne l’as sous-estimez pas, elle peux très bien leur faire face, malgré que si les commentaires vont trop loin elle aura probablement les larmes qui monteront, la gorge qui se bloquera, avant qu’une petite main vienne rencontrer le visage de son interlocuteur. Et malgré tout, elle as cette innocence qui la caractérise si bien, malgré son passé, malgré les douleurs de la vie, il lui arrive de rester des heures durant à contempler les cieux étoilés, ou un paysage magnifiquen  se perdant dans ses rêves, ses pensées, perché au   milieu du monde. Elle aime la vie, elle est acharnée, prête à tout faire pour vivre sa vie comme elle l’entend, prête à tout pour vivre tout ce qu’elle peux vivre. Espiègle, ce serait bien elle de faire un mauvais tour à quelqu’un, oh, rien de bien méchant, seulement pour partir en courant, son rire la suivant dans les corridors de la tannière.  



a little more

+ Elle déteste l’eau. C’est peut-être son léopard qui la tient loin des étendue trop grande, mais dans tout les cas, elle déteste particulièrement se baigner, elle ne sait pas nager d’ailleurs, elle n’as jamais voulu apprendre.
+ Elle adore le soleil, s’allonger sur une roche sous sa forme animale, au soleil, des heures durant, est bien assez pour la faire ronronnez de plaisir.
+  Elle adore grimper, encore là, c’est peut-être sa moitié animale qui emporte sur sa moitié humaine, mais elle n’hésite pas à monter partout et n’importe où. Lorsqu’elle était petite, elle s’en servait aussi pour échapper au Loup, ceux-ci n’aimant pas vraiment les hauteurs à la base. Elle fuyait des les arbres, au sommet, son moment de parfaite tranquilité. Et si le soleil était au rendez-vous, c’était encore mieux.
+ Elle dort toujours avec une lumière allumé, malgré sa vision nocturne parfaite, elle as toujours peur que celle-ci lui fasse défaut, ou de se retrouver de nouveau dans une cellule crade, enchaîné au mur
+ Il lui arrive encore de faire des cauchemars la nuit, de ceux qui te prenne l’estomac et te fait baigner dans une mer de sueur. Quand ça lui arrive, elle prend une douche, une longue douche, avant de se transformer et d’aller se pelotonner avec son loup préféré. Après tout, certaines habitudes ne partent pas si facilement.
+ Elle adore lire, elle peut se perdre dans les aléas d’un bon livre pendant des heures, oubliant de manger, oubliant de dormir, fascinée par le monde qu’elle découvre.
+ Elle est beaucoup plus proche de son léopard que la moyenne des changelings, probablement à cause des semaines passé sous sa forme animale. Et parfois, lorsqu’elle passe trop de temps en cours, à l’université, ou en ville, elle peux le sentir gratter sous sa peau, hurlant son besoin de sortir, son besoin de courir, son besoin de nature et de vie.
+ Fawn as une obsession pour la nourriture, lorsqu’elle est fâché, quiconque connait le secret l’aura rapidement amadouer. Elle n’as aucune limite, mais aime particulièrement les sushis. Elle raffole des sushis. Et du gâteau. Et de la pizza. Et, et, et.. et pas mal tout ce qu’elle peut manger en fait, elle n’est pas trop difficile.
+ Depuis qu’elle c’est fait kidnapper, elle évite les humains comme la peste. Elle sait qu’elle n’as pas d’autre choix que de les côtoyés, mais ils sont loin d’être sa race préférée. En fait, elle aimerait probablement plus être ami avec un psi qu’avec un humain. Elle ne leurs fait pas confiance, mais au fond, ça cache aussi une terreur plus profonde, des cicatrices qui n’ont jamais vraiment guéri, les seuls à qui elle fait confiance sont le peu d’entre eux qui habite à la tanière, qui font parti de la meute. Parce qu’après tout, ils font parti de la famille aussi.
+ Elle aime beaucoup trop se faire caresser sous sa forme léopard. En fait, elle as pris l’habitude de se transformer et d’aller énerver Nox jusqu’à ce que celui-ci finisse par lâcher prise et lui faire les gratouilles qu’elle attends. Et dans ses moments, elle se laisse aller sur le dos, les quatres pattes en l’air, la tête renversée, ronronnant tel un petit avion près à décoller. À vrai dire, c’est peut-être les caresses de Nox qu’elle apprécie bien plus que les caresses en général, mais ça, elle ne l’avouerais pas, même sous la torture.

Precisely Changeling

Animal + Léopard Nébuleux
Clan d'appartenance + WhiteSun (Loup)
Position au sein du clan + Guérisseuse

prénom(s) et/ou pseudo starsovermountain âge 22piges fréquence de connexion souuuvent où as tu découvert le forum? je l’ai fondé huhu autre choses? je vous aimeees Fawn + I like the way the sun feels 4082048411
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Invité
Histoire
«You took my soul and wiped it clean.»

Des changelings en ville, des léopards en ville, dans ses logements à moitié rongé par les cafards, à moitié rongé par la mort. Un homme et sa fille, seuls contre l’adversité, et entre ses murs mal isolé, un rire de petite fille perçait dans la lueur du coucher de soleil, suivit de celui plus grave de son père. Ils étaient seuls dans leurs monde, un monde où ils n’habitaient pas dans un appartement, mais dans la forêt, seuls avec tout cet espace vert à leurs disposition. Un monde où ils pourraient se transformer en dehors de leurs minuscule appartement. Un monde où la vie n’était pas que bétume et pollution. Et cette voisine qui les regardait d’un mauvais oeil par la fenêtre ouverte, cette voisine qui semblait mal prendre de vivre dans le même bloc que deux prédateurs. Elle avait cru comprendre que la mère et la soeur jumelle de la petite était morte il y as près de onze ans, mais eux n’habitait pas dans le coin depuis longtemps. Chaque fois, ils se faisaient repousser ailleurs, plus loin, dans une autre ville, un autre état. Ils ne prenaient même plus la peine de défaire leurs bagages, leurs maigres possession s'entassent dans le coffre de la voiture. Et cette soirée parfaite, alors que les rires résonnent et que le soleil entoure la ville d’une lueur dorée, cette même voisine pris le combiné du téléphone, passant un appel à une connaissance, elle ne voulait pas de léopards dans son quartier. Et si l’un d’entre eux décidait qu’un enfant du quartier semblait être un bon repas?

La nuit noire, seule la lumière frissonnante des lampadaires éclairant les environs, alors que l’air se glace et que la noirceur prends possession de la ville, la vieille dame regardant toujours par la fenêtre d’un oeil avide, on pourrait presque sentir sa fébrilité, enfin, ils allaient être débarrassé des monstres. Afin, ils allaient connaître la peur qui les prenaient tous lorsqu’ils déambulent nonchalamment dans les rues. Ils n’étaient pas humains, ils n’avaient rien d’humain, pas mieux que des animaux si vous voulez son avis. Elle n’en avait rien à faire que la petite n’ait pas plus d’une douzaine années, ni qu’ils allaient vers une mort certaine, ce ne fût qu’un sourire satisfait qui éclaira son visage lorsqu’elle vit finalement des hommes, tout de noir vêtue, sortir deux corps inconscient, les lancé dans le derrière du fourgon avant de décoller. Personne n’avait rien entendu, rien vu, sauf elle, avec cette satisfaction qui la comblait. Elle ne les reverrait pas de sitôt, ou peut-être que si. Peut-être qu’elle irait voir le combat qui aurait lieu, ces combats à mort qui opposait deux changelings, capturé par les humains, sans autres espoir de survie que de tuer leur opposant. Peut-être qu’elle prendra la chance de voir la mort de plus près.

Six mois, six mois qu’ils avaient disparus sans laisser de trace, du moins, aux yeux de la police. Personne ne viendrais interroger une vieille dame, encore moins l’accuser de mentir. Personne ne se doutait du rôle qu’elle avait eu. Elle avait attendu que les choses se tasse, que l’affaire soit finalement classé, oublié, avant de se rendre à l’arène, dans cet espace sous terre, sans lumière, crade, humide. Elle avait appris que l’homme, le père, avait passer un marché avec ses geôliers. Ils n’enverraient pas sa fille dans l’arène tant et aussi longtemps qu’il n’était pas mort. Et eux avaient accepté en riant, certain qu’il ne survivrait pas plus d’une semaine, assez longtemps pour s’amuser avec la fillette en attendant. Mais voilà, cela faisait plus de six mois maintenant, six mois qu’ils attendaient sa mort avec impatience. Ce soir, il y passerais. Ce soir, ils allaient s’amuser. Rien ne les amusaient plus que de voir une enfant se battre à mort contre un changeling adulte. Parce que ça allait contre leurs instincts les plus profonds. Certains préféraient mourir que de tuer des enfants, mais il y en avait toujours un qui était prêt à tout pour survivre. Ils étaient impatient, ils avaient joué avec elle les cinq premiers mois, avant de se lasser, maintenant, elle pourrissait sur le sol de sa cellule, attendant sa mort certaine. Mais la vieille dame, elle était là pour le spectacle, pour voir cet homme blessé, éreinté des derniers combats, des six derniers mois, ce battre à nouveau. Et alors que les lumières éclairaient l’immense cage qui servait d’arène, il apparut, un peu chancelant sous sa forme de léopard nébuleux, visiblement blessé, un loup qui se trouvant face à lui, en pleine forme. Le léopard chargea, il avait encore assez de rage au ventre, il avait encore assez d’amour pour sa fille pour se battre jusqu’à la fin, il avait cru pouvoir la sauver, il avait cru pouvoir s’échapper avec elle. Il avait voulu gagner du temps, mais finalement, il n’avait que retarder sa mort. Le loup ne cilla même pas sous l’attaque, il resta un moment, sans bouger, sans se défendre, jusqu’à ce que finalement sa patte écrase la gorge du léopard, leurs yeux se croisant, des longues minutes s’écoulant, une lueur de douleur dans le regard du loup avec de l’achever alors que des cris d’encouragement résonnait dans la salle. Un sourire éclairait le visage de la dame, il avait finalement payé pour avoir osé s’installer dans le quartier, pour avoir osé mettre en danger les habitants du bloc. D’autres visages s'éclairaient du même sourire. Enfin, on pourrait mettre la petite dans l’arène.

Ils n’eurent pas le temps.

Les portes s’ouvrirent avec fracas, laissant passer une meute de loups enragé. Ça l’avait été long avant qu’ils puissent débusquer l’endroit, très long. Le loup dans l’arène n’avait été qu’un appât, un leurre. Les humains ne s’en prenant qu’aux changelings solitaires, ceux qui n’avait pas de meutes, pas de clans, personnes ne se souciaient d’eux de toute façon, ils avaient tombé tête première dans le panneau, ils avaient capturé le loup, loup qui portait un émetteur, permettant à la meute de trouver l’endroit sans trop de difficulté. Mais ils étaient arrivé trop tard, seulement quelques minutes trop tard.

Ce fût un carnage. Les Changelings ne pardonnait que rarement à ceux qui s’en prenait aux leurs, et cette fois-ci, les forces policière leurs laissèrent le champs libre. Ils n’avaient pas seulement tuer des adultes changelings, mais aussi des enfants. Ils laissèrent les changelings appliquer leurs lois, sans même bouger un orteil. On en épargna quelque uns, dont la vieille dame, son sourire était disparu, sa haine plus féroce encore, et alors qu’elle se faisait escorter hors du bain de sang, elle pu voir, au fond de la pièce, un homme sortir de la noirceur, un léopard rachitique dans les bras. La vieille dame eut un sourire mauvais, un jour, un jour elle se vengerait.

Elle aurait pu, si ce n’était qu’elle était morte inexplicablement trois semaines plus tard, en prison.

Et l’homme qui avait récupéré la petite Fawn, il ne pu s’en débarrasser, il ne pu la remettre au félins, parce qu’il s'était déjà attaché à la petite chose qui s'était agrippé à lui comme un enfant à son père. Et l’espace d’un instant, alors qu’il l’avait récupéré au sol, elle avait cru voir en lui son père, mais son odeur, ce n’était pas l’odeur la bonne, ce n'était pas la sienne, mais l’odeur d’un changeling tout de même, alors elle s'était laissé faire, ne s’était pas débattu. Après tout, le seul autre changeling qu’elle avait connu était son père.  Il la ramena à la tanière, lui fit une place dans ses quartiers, l’as pris sous son aile comme si elle était sa fille. Ce fût les premiers mois les pires. Un félin dans une meute de loup, c’était presque risible. Les deux se cotoyaient, s’enduraient, mais de là à cohabiter. Elle se retrouvait pour la première fois entouré de dizaines de changelings, et comme dans ses mondes inventés qu’elle fabriquait avec père, elle étaient entourées de forêt. Mais c'était trop pour elle, c'était trop pour la petite fille qui venait de passer les six derniers mois sous terres, abusée, battue. Elle serait probablement encore sous sa forme animale si ce n’avait été de Nox. Elle ne voulait voir personne, ne faisait confiance à personne, tel un animal sauvage, passant plus de temps sous son léopard, parce que celui-ci pouvait la protéger. Il était plus féroce qu’elle-même, il avait des griffes, alors elle s’enfonçait dans son esprit et lui laissait les rênes. On crut d’abord qu’elle ne reviendrais jamais, perdue à jamais dans les cauchemars de son esprit. Mais ce fût Nox qui appris à l’apprivoiser, tranquillement, approchant son léopard, cajolant son léopard. Ce ne fût que bien plus tard, alors qu’elle comprit finalement qu’elle était en sûreté, qu’elle revint, se transformant pour la première fois depuis des semaines. Et lorsque la nuit, les images revenaient, que la peur lui prenait au ventre, la tristesse lui bloquant la gorge, elle se transformait, se faufilant dans la tanière pour aller se pelotonner dans le lit de Nox.

Il était la lumière dans la noirceur de ses rêves.

L’adaptation au clans fût longue, très longue, mais elle s’y fit, tranquillement, se taillant une place dans la tanière, développant ses dons de guérisons, jusqu’à finalement réussir à se faire respecter, jusqu’à avoir cette place faites tel un moule. WhiteSun ne serait pas WhiteSun sans la féline qui se promène dans les couloirs de la tanière, sans son rire qui résonne entre les murs, sans ses milliers de questions. Et lorsque la tragédie arriva, lorsque Nox eut à tuer sa propre soeur, elle recommença à le rejoindre dans son lit la nuit. Mais cette fois-ci, ce n’était pas pour ses cauchemars à elle. Ce n’était pas pour la noirceur qui l’envahissait encore parfois, c’était pour lui, seulement pour lui, comme il l’avait fait pour elle autrefois.

Les années qui passe, les secondes qui défilent. Cela faisait plus d’une décennie qu’elle vivait dans la meute maintenant, elle était en dernière année d’université, étudiant férocement la médecine. Elle ne voulais pas être une simple guérisseuse, elle ne voulait pas être prise au dépourvue, alors elle apprenait. Et parfois, seulement parfois, il lui prenait de monter au sommet du Mont Lyell et de regarder l’étendu devant elle, son père, son père il aurait voulu être là, son père aurait aimé voir cela.

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