Sloan ▲ « Just like fire... »

►Elle a vécu jusqu’à ses 5 ans en Irlande avant de débarquer aux Etats-Unis et plus précisément à la Nouvelle-Orléans ►Parfois elle se dit que sa famille doit  être sous le coup d’une malédiction vu la forte tendance à être favorite de la grande faucheuse : son grand-frère est porté disparu depuis 10 ans maintenant et son père est mort assassiné il y a cinq ans. ► Son père était un inventeur et il lui a transmis ce goût particulier pour la réparation et la fabrication, grâce à ce talent elle arrive à se faire un peu d’argent. ► Sa mère est un véritable poison, ne s’étant jamais remise de la mort de son père, elle accumule dettes et mauvaises fréquentations et Sloan finit toujours par rattraper ses conneries, contrainte et forcée ! ► Elle est à San Francisco depuis la mort de son père soit cinq ans et soyons honnête elle n’a jamais connu le côté reluisant de la ville. Son oncle qui l’héberge tiens un bar où il lui arrive de faire office de barmaid ou serveuse ►Il lui arrive de se glisser sur les bancs de l’université pour suivre certains cours sans y être inscrite ► Tout le monde ayant besoin d’argent, elle travaille dans un garage où elle a tout le loisir de montrer ses talents hérités de son père et surtout ça lui permet d’avoir accès à tous les outils dont elle a besoin ► Oui elle aime se balader dans les décharges… Certes pour trouver des pièces qui lui manquent mais on n’empêchera pas la bienséance de trouver cette attitude étrange ►Elle déteste qu’on la touche surtout parce qu’elle appréhende ce qui pourrait se déclencher ► Une femme dans un monde d’homme, elle a appris bien vite comment se défendre et maitrise le lancer de clef à molette comme personne. ►Il y a deux choses qui sont immuables : la première elle porte toujours des gants et la deuxième elle a toujours sur elle une vieille montre à gousset. ► C’est une fan de football US.

Pouvoir + N’est-ce pas magnifique de voir une flamme danser ? Venir vers vous pour vous caresser chaleureusement la peau ? On voit ça si on est du côté bisounours ! La vérité est bien tout autre… Son pouvoir est lié au feu, en produire, le contrôler, bref en faire ce qu’elle veut… En théorie… En pratique, elle brûle fréquemment les choses qui entrent en contact avec son épiderme. Son père avait commencé à lui enseigner comment appréhender son don, et puis après sa mort ça a été de mal en pis ! Et comme cela ne suffisait pas, ses émotions jouant un rôle prépondérant dans sa vie, tout part à volo dès qu’elles rentrent dans l’équation. Alors elle a trouvé une alternative, elle a réussi à se faire des gants qui avec un élégant système lui refroidit les mains évitant ainsi toutes flammes impromptues voire même chaleurs. La plus grande partie de ses capacités nécessite l’usage de ses mains, ce qui est un plus non négligeable, sinon elle aurait dû opter pour une combinaison de plongée sans doute ! Cependant cela n’empêche pas que la température de son corps peut augmenter de façon exponentielle si bien que de un elle a un abonnement pour les achats de draps et literie, les rêves rien de pire pour les émotions, et de deux elle se dit qu’un jour elle va vraiment finir par faire l’expérience de la combustion spontanée.
Elle arrive à en voir quelques points positifs… Tout d’abord le froid, elle ne connait pas, elle pourrait se promener en sous-vêtements dans la neige qu’elle n’en serait pas gelée le moins du monde, donc elle fait des économies de chauffage, et puis elle prend sa douche à l’eau froide, il lui faut certes un petit temps d’adaptation, mais très vite elle est à bonne température. Et ensuite ses mains sont encore plus efficaces qu’un chalumeau ! C’est plus précis, plus propre et une source intarissable que l’on n’a nullement besoin de recharger
Ton besoin vis-à-vis du net de l'ombre + Elle peut très bien s’en passer et le fait plus par habitude que par réelle nécessité. Après il est vrai qu’elle n’a jamais tenté d’entrer dans le livre des records de l’abstention.
Position au sein du net + Son oncle fait partie de l’organisation Shine, et bien qu’il aurait préféré qu’elle en fasse de même elle préfère vraiment rester en dehors du système. Elle n’a rien contre cette organisation, au contraire, elle respecte ce qu’ils font, la preuve en est qu’elle sait à quel point ils peuvent venir en aide aux personnes telles que elle, mais de là à suivre un chemin tracé… Ce n’est pas dans son caractère.

prénom(s) et/ou pseudo Blondie. âge 666 ans vive la porte de l’enfer ! *sors*. fréquence de connexion 4/7. où as tu découvert le forum? C’est la faute de Dylan et rien que sa faute, j’étais tranquillement sur mon panda et paf trop de tentation d’un coup ! Je suis une victime !! ton opinion sur le forum, design, codage Alors je fais un power point en 18 points et je vous l’expose après ! *s’baffe*. inventé ou scénario? Inventé   autre choses? Bananaaaaaaaa

Bottin des avatars

Code:

<pris>lily collins</pris>+ sloan adler

Bottin des espèces

Code:

<f> sloan adler </f> +   pyrurgie

S’essuyant les mains sur son pantalon Sloan contemplait avec fierté la pile de verre qu’elle venait de vaincre. Il était à peine minuit et le bar de son oncle n’aspirait plus au moindre interstice entre les clients. Point positif il y avait de grandes chances qu’elle parte avec des pourboires conséquents, et il lui en faudrait pour mener à bien la fin de son projet de réparation du réfrigérateur ! A moins qu’elle ne fasse un crochet par la déchetterie ? Il fallait qu’elle en discute avec elle-même afin de déterminer quelle satisfaction serait la plus grande… Réparer serait plus épanouissant, mais avoir une pièce neuve signifierait moins épuisant… Sujet intéressant prêtant au débat interne… Perdue dans ses pensées elle ne put que subir et non anticipé le coup de torchon sur sa cuisse que venait de lui faire Jackson, même avec le regard noir qu’elle venait de lui lancer il éclata de rire avant de lui souffler en passant derrière elle « Au travail ! ». Elle poussa un long et profond soupir traduisant tout ce qu’elle mourrait d’envie de lui dire c’est-à-dire qu’il pouvait bien aller se faire voir ailleurs ! Déjà de un elle venait pour dépanner son oncle et de deux le seul bonus qu’elle avait en tant que salaire résidait dans ses pourboires, et de trois le bar appartenait à son oncle donc… Elle faisait ce qu’elle voulait et s’il n’était pas d’accord il n’avait qu’à en référer à la direction… Réponse puéril, elle en avait pleinement conscience et s’en satisfaisait avec joie. Nouveau coup de torchon sur son autre cuisse cette fois, elle allait l’attraper et le faire cramer devant son nez s’il continuait… C’est que c’était tout sauf agréable et en plus ça allait lui laisser des marques affreuses.

« Problème à la pression ! » Lui dit-il en désignant la machine avant de retourner à ses clients. C’est vrai que le lui dire simplement en venant lui taper sur l’épaule c’était trop civilisé pour Monsieur-j’ai-les-manières-d’un-homme-des-cavernes ! Il fallait qu’elle pense à changer quelques pièces là-dessus aussi, à ce stade ce n’était plus du rafistolage amis un véritable miracle qu’elle fonctionne encore… Ou le talent… Ou l’habitude peut-être, elle avait tellement l’habitude de le faire, et la fâcheuse manie à absolument éventrer n’importe quel objet afin d’en saisir son fonctionnement et son contenu. A force il était aisé de deviner comment réparer provisoirement, bien que le provisoire se termine souvent en long terme, n’importe quel objet du quotidien ou véhicule, petit héritage génétique qui lui procure l’extrême joie des insomnies lorsqu’elle ne parvient pas à aboutir au résultat souhaité… Tout un poème ! Essuyant ses mains sur un torchon elle s’approcha de la machine et quelques réglages plus tard elle recommençait à fournir son liquide ambré. Sloan resta un instant à observer la machine, non par esprit de professionnalisme mais simplement par vagabondage de pensée, jusqu’à ce qu’on l’interpelle pour une boisson. « J’adore tes gants ! » Tout se passa en une fraction de seconde sans qu’elle n’ait pu l’anticiper, elle venait tout juste de déposer les consommations qu’on lui avait saisi la main pour lui retirer le gant de sa main droite. Bordel ! Inspirer, expirer, ne pas céder à la panique bien que l’entièreté de ses cellules venaient de se raidir à l’unisson. « Maintenant que j’en ai kidnappé un, je dois demander une rançon non ? » Te cramer la gueule ça ira comme récompense ?

Très mauvaise idée de laisser s’insinuer peu à peu la colère, plus elle prenait de place, plus le contrôle prenait la tangente. Elle referma sa main droite sur elle-même la dissimulant sous le bar, faisant entrer les ongles dans sa paume, lui permettant ainsi de canaliser son attention sur la douleur et non ses émotions. Elle avait développé tout un tas de technique pour parer à ce genre de situation, certes le pourcentage de réussite restait bas, mais il y avait quelques résultats. Pour plus de sûreté elle venait gentiment de placer sa main dans un seau de glaçon qui, au fur et à mesure que l’autre imbécile faisait son pseudo numéro de charme, devenaient une eau presque tiède. Il ne manquait plus qu’elle se mette à bouillir après ! Elle n’eut pas à répondre que Jackson avait sauté par-dessus le bar pour récupérer son bien et le lui rendre. C’était encore mieux que d’ouvrir les cadeaux le jour de noël ! Elle le remit avec un soupir de soulagement non dissimulé. « Merci. » « Un jour il va te demander de l’épouser… » « Okay là je vais vomir ! » Elle esquissa un fin sourire « Prend ta pause ! » elle acquiesça sans demander son reste et en profita pour aller prendre l’air en passant par la porte de derrière, déchargeant les bouteilles vides au passage. Elle s’appuya négligemment contre le mur, son regard fixant le ciel sans couleur. « Hey Adler ! » elle poussa un long soupir avant de fixer l’endroit d’où venait de retentir la voix « Quoi ? Elle a fait quoi encore ? » l’homme se rapprocha à grandes enjambées un sourire sur les lèvres, à la manière du prédateur venant juste de tomber sur sa proie. Super encore des emmerdes ! « Elle a quelque chose qui m’appartient ! » Elle arqua un sourcil « Et en quoi ça me concerne ? »

« C’est ta mère ! » « Elle est majeure, vaccinée et responsable de ses actes, donc bonne chance pour la retrouver ! ». La plus grosse épine dans son pied, sa mère ! Lorsque son père fut assassiné et qu’elles vinrent à San Francisco Sloan avait naïvement pensé qu’elle s’en sortirait toutes les deux, qu’elles étaient une famille après tout… Et puis petit à petit elle avait vu sa mère sombrer, fréquenter les mauvaises personnes et surtout arriver à un point où elle ne contrôlait même plus ses propres actions ! Parfois elle disparaissait purement et simplement ayant trouvé l’amour/la foi/une conscience/un renouveau bref une nouvelle excuse à la noix, si bien que Sloan avait rompu tout contact avec elle, le seul lien restait son oncle. Mais à chaque fois elle revenait avec encore plus de dette, encore plus de problème à croire qu’elle arriver toujours à se surpasser dans la connerie de sa médiocrité. Mais le plus drôle résidait dans le fait qu’a priori sa mère, dans ces moments de delirium aiguë, ne cessait de parler de sa fille, comme si elles étaient comme cul et chemise, et donc elle récolter les pots cassés de sa génitrice. Si ça n’avait été que elle dont il était question, elle aurait su se débrouiller, mais elle n’aurait supporté que tout retombe sur oncle, il avait déjà subi des dégâts dans son bar à cause d’elle. Donc quand il était question d’argent elle arriver à éponger les dettes de sa mère en prétextant que ça venait de sa mère. Voilà pourquoi elle multipliait les heures supplémentaires et qu’elle préférait rafistoler plutôt que d’acheter. Mais un jour cela ne serait plus suffisant elle le savait, et qu’est-ce qu’elle pourrait faire à ce moment-là ?

Elle entreprit de rentrer dans le bar lorsqu’il lui agrippa le bras avec fermeté l’obligeant à se retourner, elle pouvait sentir son souffle fétide sur sa peau « Ne m’oblige pas à… » avant qu’il n’ait pu terminer sa phrase elle se dégagea de son emprise le repoussant violemment « On va mettre les choses au clair, je ne sais pas où elle est, je m’en contrefous et si elle pouvait être morte ça m’arrangerait… Si tu veux t’en prendre à quelqu’un retrouve là mais laisse-moi en dehors de vos problèmes, ne m’oblige pas à le répéter, vraiment… Je détesterais devoir m’énerver ! » Jouer avec le feu ? Elle ? Non si peu… Mais elle avait appris avec le temps qu’avec certains interlocuteurs il fallait simplement crier plus fort qu’eux. Lorsqu’elle referma la porte du bar après s’y être engouffrée, elle se laissa glisser contre celle-ci, se demandant si elle vraiment c’était une idée de génie pour le coup. « Qu’est-ce que tu fais par terre ?! » « Je prends ma pause ! » Son oncle arqua un sourcil lui tendant une main qu’elle saisit pour se relever « T’as déjà trouvé mieux comme réponse débile ! » Elle força un sourire « C’est la fatigue… » « Ok c’est ta mère ! » Finit-il avec un soupir, elle n’était plus étonnée qu’il lise en elle comme dans un livre ouvert depuis le temps. « Un jour je vais finir par la tuer moi-même » son oncle s’approcha lui déposant un baiser sur le front « Tu ne sais pas de quoi tu parles » « Crois-moi… Je sais que je n’arriverais pas à me contrôler si je la croise… Je n’essayerais même pas… » « C’est ta mère ! » « Non ! Elle est morte il y a cinq ans, en même temps que lui… » Nouveau soupir « Dis-moi que t’as arrêté de chercher ! » Elle secoua négativement la tête « Je veux juste comprendre ! Et un jour j’aurais tous les protagonistes de cette foutue nuit… ».